Sur le dossier de la troisième ligne de métro baptisée Toulouse Aerospace Express (TAE), le président du directoire de l’aéroport a été clair : «le fait que l’aéroport ne soit qu’une option pour la troisième ligne de métro n’est pas satisfaisant !».
Jean-Michel Vernhes peine à comprendre comment le futur tracé pourrait passer à côté d’un bassin d’emplois de 55 000 salariés et d’un aéroport de plus de dix millions de passagers dans les années 2020. Il plaide pour une réelle intermodalité entre le rail et l’aérien.