« C’est fait. Le maire de Toulouse a imposé sa volonté au terme d’une trop longue période de pseudo consultation qui ne trompait que ceux qui le voulaient bien…
Le sud-est toulousain et le Sicoval ne seront pas desservis par la ligne B qui ne sera pas prolongée. C’est un fait concret et tangible, avec ses conséquences immédiates pour les citoyens.
Le reste ? Le reste relève de contours improbables qui caractérisent la politique des actuels responsables de Toulouse Métropole.
On peut aussi constater que depuis mars 2014, les dirigeants du Sicoval ont bien facilité la tâche au maire de Toulouse. Leur unité de façade, y compris sur ce dossier, ne leur permettait pas de dégager la force, la pugnacité voire l’agressivité nécessaires pour résister à la pression de Toulouse. Le retour fracassant de certains se solde finalement deux ans après par « plus de métro » et un transfuge de l’ex-UMP au fauteuil de maire de Labège. Pas vraiment un retour gagnant.
Le temps n’est plus à développer des argumentaires techniques ou politiques. Le temps n’est plus à la négociation car tous les stades de celle-ci ont été épuisés.