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[La Dépêche] Sévère tour de vis à Tisséo pour 2016 : les syndicats lancent une alarme sociale

Lignes de bus supprimées, modifiées ou sous-traitées au privé, réduction du parc de bus et de l’offre kilométrique, emplois de chauffeurs menacés, les syndicats FO, Sud, CGT et CFDT lancent une alarme sociale.

Moins de bus à l’heure de pointe sur une vingtaine de lignes, donc encore davantage d’attente pour les usagers, des lignes supprimées (25, entre Aéroport et Blagnac-E. Zola, et 68, en partie remplacée par un prolongement de la 27), modifiées ou sous-traitées au privé (17, 30, 49, 51, 55, 71, 82, 109 et 111), réforme de 76 bus diesel que l’achat de 25 nouveaux bus articulés hybrides pour les lignes Linéo ne va pas compenser (51 bus en moins sur un parc de 593 bus), c’est un véritable électrochoc social (avec une menace sur près de 80 postes) qui a traversé, hier, le comité d’entreprise de la régie Tisséo, soulevant l’inquiétude des représentants syndicaux.

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[La Dépêche] Le prolongement de la ligne B vers Labège fait dérailler Tisséo

Le débat sur le prolongement de la ligne B du métro vers Labège a divisé et enflammé, hier, le comité syndical du SMTC Tisséo, autorité chargée d’organiser les transports toulousains.

L’ annonce par Jean-Michel Lattes de la présentation du tracé de la future troisième ligne de métro lors d’un comité syndical extraordinaire, le 18 décembre prochain, a mis le feu aux poudres, hier, lors du comité syndical du SMTC. Le président de l’autorité chargée d’organiser les transports toulousains venait d’évoquer les 40 réserves techniques qui, selon lui, empêchent d’aller plus avant sur le dossier du prolongement de la ligne B (PLB) de métro jusqu’à Labège. Un projet dont le SMTC qu’il préside devrait pourtant, en théorie, être le porteur.

Henri Arevalo, adjoint au maire (EELV) de Ramonville et membre du Sicoval, une des quatre collectivités du SMTC, est alors monté au créneau : «La troisième ligne de métro correspond à vos engagements à Toulouse, pas aux nôtres, pas ceux des trois autres collectivités du SMTC», esquissant ainsi une fronde des banlieues contre la ville centre.

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[20 minutes] Le futur téléphérique urbain en cinq chiffres

TRANSPORTS Les appels d’offres pour l’Aérotram sont quasiment parés au décollage. Cinq choses à savoir sur ce nouveau mode de transport qui devrait permettre de traverser la Garonne 2020…

Le « Téléphérique urbain sud » vient de passer le cap de la concertation publique sans vraiment rencontrer d’hostilité, même si certains proposent un tunnel pour traverser les coteaux de Pech-David.

Tisséo peaufine désormais son « appel à conception » pour cette nouvelle ligne aérienne de 2,6 km entre l’Oncopole et le campus des sciences, via le CHU de Rangueil. Cette desserte qui permettra de franchir la Garonne devrait entrer en service en 2020. Et être prolongée, d’une part vers Montaudran, d’autre part vers Basso-Cambo.

10 minutes

Le temps de parcours en téléphérique entre l’Oncopole et l’Université Paul-Sabatier(UPS). A l’heure actuelle, relier ces deux points prend en moyenne 45 minutes en transport en commun et une vingtaine de minutes en voiture (en dehors des heures de pointe). La ligne fonctionnera de 5h15 du matin à minuit, avec une cabine « toutes les 1min30 ou 2 minutes ».

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photo P.Fayolle Sipa

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[Actu Côté Toulouse] PLB. Les élus du Sicoval autorisent leur président à engager un recours en justice contre Tisséo

Lundi 7 décembre, les élus du Sicoval ont voté à l’unanimité une délibération autorisant leur président, Jacques Oberti, à engager une action contentieuse à l’encontre de Tisséo.

Réunis en conseil communautaire lundi 7 décembre au soir, les élus du Sicoval ont approuvé à l’unanimité et à main levée une délibération donnant l’autorisation à leur président, Jacques Oberti, d’engager un recours contentieux devant la justice administrative à l’encontre de Tisséo SMTC.

> LIRE AUSSI : Métro à Labège : le Sicoval met la pression sur Tisséo en posant la première pierre symbolique du PLB

Cette action de la communauté d’agglomération du sud-est toulousain porte sur des irrégularités constatées au niveau de la délibération présentée en comité syndical de Tisséo le 14 octobre 2015, relative aux objectifs de la révision du Plan de déplacements urbains (PDU) de la grande agglomération toulousaine. Une procédure qui dénonce par ailleurs la retranscription ayant été faite du bilan de la concertation.

Des irrégularités sur le fond et sur la forme

C’est Arnaud Lafon, vice-président du Sicoval en charge des transports et représentant de la collectivité au sein de Tisséo, qui a expliqué les raisons de la démarche du Sicoval. Il a en particulier apporté des précisions quant aux irrégularité visées par cette action, que ce soit sur la forme ou sur le fond :

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[La Dépêche] L’aérotram mais rien sur le PLB

Transports – SMTC tisséo

Le prochain comité syndical du SMTC Tisséo (syndicat mixte des transports en commun de l’agglomération toulousaine) aura lieu demain mercredi 9 décembre à 9 heures dans les locaux de Toulouse Métropole (9e étage).

À l’ordre du jour, notamment, l’examen du budget supplémentaire 2015 et le débat sur les orientations budgétaires pour 2016, ainsi que l’autorisation de contracter deux prêts de 10 et 20 millions d’euros afin de financer des travaux du SMTC.

À noter aussi trois délibérations sur le projet de téléphérique urbain sud, dont l’approbation du bilan de concertation et celle du principe d’indemnisation des candidats à la conception, réalisation et maintenance de la liaison Oncopole-Rangueil-UPS. Un dossier qui avance donc même s’il n’est pas, pour l’instant, définitivement acté.

On relève aussi, à l’ordre du jour, l’approbation du programme d’opération du Lineo 6, projet de super-bus reliant Castanet-Tolosan à Ramonville et celle du programme de l’opération Lineo 8 entre Marengo SNCF et Gonin. Mais rien de prévu, aucune délibération ni débat à l’ordre du jour, sur le prolongement de la ligne B du métro vers Labège tant attendu par le Sicoval, membre du SMTC, et dont l’enquête publique est terminée. Nul doute que les représentants du Sicoval sauront évoquer ce projet au cours des débats.

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[La Dépêche] Oncopole-Rangueil : le téléphérique urbain remonte la pente

La seule réunion publique de la concertation en cours sur le projet de téléporté entre Oncopole, CHU et université a suscité de l’intérêt, bien des questions et quelques réponses.

«Être téléporté de l’Oncopole au CHU et à l’Université en 10 minutes, science-fiction ou futur possible ?». C’était le thème de la seule réunion publique organisée jeudi soir dans le cadre de la concertation en cours sur le projet de téléphérique urbain. Une petite centaine de personnes y assistait, après qu’une première réunion a été annulée suite aux événements du 13 novembre. Des habitants et représentants d’associations de Rangueil, Pech David ou Pourvourville étaient en nombre, avec une délégation de lycéens de Bellevue, intéressés par un projet qui suscite, semble-t-il, beaucoup moins de rejet, voire de moqueries qu’au début, mais plutôt un désir de concertation et surtout des réponses précises.

À part un riverain très sceptique estimant que le téléphérique allait contribuer à engorger un peu plus le trafic auto à Rangueil, et réclamant plutôt des aménagements routiers, les autres intervenants posaient de vraies questions : combien ça va coûter ? Quel financement ? Y aura-t-il du parking à la station CHU ? Et à l’Oncopole ? Combien de pylônes ? La capacité sera-t-elle suffisante pour absorber les reports du métro à Basso Cambo (question de Joël Carreiras, ex-président de la Smat, qui se félicitait de l’avancée du projet) ? Pourquoi ne pas relier directement Basso Cambo à Montaudran plutôt que par étapes ? Y a-t-il danger avec les ballastières ? Pourra-t-on transporter des lits médicalisés ? Un lycéen de Bellevue «trouvait le projet intéressant» mais rappelait «l’opposition de principe des lycéens au survol de l’établissement».

Jean-Michel Lattes (président du SMTC), Francis Grass (président de la Smat) et Cyril Ladier, chef de projet aérotram) s’employaient à répondre.

Jean-Michel Lattes ne s’engageait pas sur le coût, «l’équivalent du prix d’une ligne de bus moyenne (…) le financement de la première tranche est intégré dans le budget Tisséo».

Cyril Ladier parlait de 5 à 15 pylônes suivant la technique utilisée (trois câbles ou mono) et de plusieurs variantes de tracés et de sites pour les trois premières stations (Oncopole, CHU, UPS).

Francis Grass évoquait un «coût d’exploitation inférieur à celui d’un bus», «un débit équivalent à celui d’un tram» et la «faisabilité avérée du maillon Basso Cambo suite à une étude ad hoc ».

Un ange passa lorsque furent évoquées les 5 000 tonnes de nitrocellulose immergées en bord de Garonne qui seront survolées par les cabines, sans aucun risque de danger, selon la DGA (direction générale de l’armement).

On précisa que le transport de fret médical (et de vélos) serait possible, pas celui des patients alités. Le projet, s’il est acté par le SMTC, devra soigner la concertation à venir.


Un projet en plusieurs étapes

Le téléporté pour franchir la Garonne et la colline de Pech David (un dénivelé de 100 m) porté par l’équipe de Pierre Cohen à Tisséo a été repris par Jean-Michel Lattes, mais «revu».

Initialement nommé aérotram, le téléphérique urbain, au-delà du changement de nom, pourrait désormais être réalisé en deux, voire trois temps.

D’abord, le maillon central (et initial) entre Oncopole, CHU de Rangueil et Université Paul-Sabatier, avec connexion à la ligne B du métro (à UPS),

puis un maillon Ouest reliant Basso Cambo (et la ligne A du métro)et une tranche Est vers Montaudran (et la future 3e ligne).

La fréquentation serait de 7 000 voyageurs/jour pour le maillon central (l’équivalent d’un bus), de 20 000 pour l’ensemble (comme un tram).

Le service en continu de 5 h 15 à 0 heure avec une cabine (35 personnes) chaque minute et demie ou toutes les 2 minutes.

Il faudrait 10 minutes pour passer d’Oncopole à Rangueil contre une demi-heure en voiture et trois-quarts d’heure en bus actuellement.

Le coût du projet est estimé entre 44 et 63 millions d’€ selon la solution technique retenue (monocâble ou tri câble), pour le maillon central.

Le constructeur choisi sur appel d’offres devra concevoir, réaliser et assurer la maintenance.

Le service ne serait pas concédé au privé, selon Francis Grass.


Le chiffre : 2 020

date >de mise en service envisagée. Si le SMTC Tisséo décide d’acter le projet, l’appel aux entreprises se fera en 2016, l’enquête publique en 2017, la construction en 2018 et 2019 pour une mise en service envisagée début 2020.

« Le téléporté peut avoir un débit équivalent au tram, circule en site propre intégral comme le métro, pour moins cher qu’un bus ».

Francis Grass, président de la Société pour la Mobilité de l’agglomération toulousaine.

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[La Dépêche] La ligne B prolongée en chiffres

Le prolongement de la ligne B (PLB), c’est 5 km supplémentaires et 5 stations nouvelles à partir du terminus actuel de Ramonville pour relier le terminus futur de Labège, à l’horizon 2021 ou 2022.

L’essentiel du parcours est prévu en viaduc aérien (4,6 km) pour 400 m seulement en souterrain,

ceci afin de réduire le coût du projet (362 M€, financés par Tisséo et Sicoval à parts égales (141 M€), par le Conseil départemental (80 M€), l’état (20,50 M€), la Région (10 M€), l’emprunt (74,50 M€), des ventes de terrains (26 M€), et un reversement du Versement Transport payé par les entreprises sur le territoire du Sicoval (10 M€). S’ajoutent les frais de maîtrise d’ouvrage que Tisséo s’était engagé à payer (11 M€).

Jacques Oberti, président du Sicoval a précisé hier que ce coût devait être actualisé à 363,35 M€ en raison du retard pris sur le calendrier initial.

15 M€ ont déjà été engagés et dépensés en études préliminaires (maîtrise d’ouvrage, campagne géologique et fouilles archéologiques) et pour la réalisation du prototype de viaduc montré et inauguré hier au Sicoval (sa réalisation a coûté 90 000 €), qui préfigure la réalisation des 10 km de corniches (garde-corps du futur viaduc) et des 4 500 portiques métalliques (évacuation voyageurs) nécessaires à la réalisation du PLB.

La vitesse commerciale du métro Val (Siemens) utilisé pour la ligne B actuelle, sera de 36 km/h,

la fréquence de 3 minutes 30 en heure de pointe (une rame sur 3 rejoindra Labège, les 2 autres s’arrêtant à Ramonville).

Fréquentation estimée : 35 000 à 38 000 voyageurs/jour pour un bassin de vie et d’emplois desservi de plus de 50 000 personnes.

Le préfet a jusqu’au 7 mars pour déclarer le PLB d’utilité publique.

photo DDM. Voir l’article sur le site DDM

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[La Dépêche] «M. Moudenc, un refus du PLB serait indéfendable»

Transports – Interview Georges Méric, Président du Conseil départemental de la Haute-Garonne.

Tout comme son prédécesseur à la tête du Département, Pierre Izard, Georges Méric, Président du Conseil départemental de la Haute-Garonne.Méric est un fervent défenseur du prolongement de la ligne B jusqu’à Labège. Nous lui avons demandé pourquoi.

Pourquoi êtes-vous à Labège pour cette pose de première pierre du PLB ?

Je suis ici en tant que président du Conseil départemental, c’est-à-dire comme garant de l’équilibre territorial du département. Le PLB est un équipement structurant indispensable pour le devenir du Sud-est toulousain et de l’agglomération, dès 2021 ou 2022 et pas en 2030 ou 2035 comme avec la troisième ligne de métro. Le PLB est une priorité pour les 105 000 habitants du Sud-est et pour les nombreux Toulousains qui viennent travailler chaque jour au Sicoval. Ma présence est aussi en signe de reconnaissance à Claude Ducert qui a inventé, il y a quelques années maintenant, l’aventure pionnière du Sicoval. Je suis ici aussi en tant que financeur d’un dossier abouti, attendu, déterminant, financé à hauteur de 80 millions d’euros par notre collectivité, ce qui marque un effort très important du conseil départemental.

Vous êtes confiant dans la réalisation de ce projet ?

Pour le maire de Toulouse, le PLB est le seul projet de transport réalisable dans son mandat municipal, il serait regrettable qu’il n’accompagne pas ce prolongement. Un refus de Jean-Luc Moudenc serait perçu comme un acte politique contre le Sicoval, marquant une volonté de développer Montaudran et pas le Sicoval, donnant la priorité à une troisième ligne de métro dont on ne connaît ni le financement, ni le tracé, ni le calendrier et qu’il faudrait attendre des années encore. On peut financer les deux (PLB et 3e ligne).

Parmi vos moyens de pression, il y a la subvention que le département pourrait accorder ou pas au Parc des Expos ?

Il ne faut pas mélanger les dossiers. Avec Jean-Luc Moudenc et la Métropole, on discute des compétences qui peuvent être transférées et des dossiers d’investissement des 37 communes de la Métropole qui peuvent être subventionnés par le Département. Avec le SMTC Tisséo, on parle de la prolongation de la ligne B du métro vers Labège et après de la troisième ligne de métro. Jean-Luc Moudenc ferait une grave erreur politique en ne faisant pas le PLB, ce serait indéfendable. Il n’y a pas de problème financier ni technique, seulement un problème politique».

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[La Dépêche] Retards dans les TER : les chiffres officiels loin de la réalité du terrain

Transports

 

L’association de consommateurs UFC Que Choisir Toulouse a relevé 717 incidents en 5 mois sur le réseau TER. Elle demande un droit au remboursement automatique en cas de retards récurrents.

L’amélioration est «insignifiante». Sur les 10 premiers moins de l’année 2015, le taux de ponctualité «officiel» des TER de Midi-Pyrénées est de 89,4 %. Soit à peine 0,4 % de mieux que sur les 10 premiers mois de 2014, où, selon l’association de consommateurs UFC Que Choisir Toulouse, 89 % des trains avaient été ponctuels dans notre région.

Et encore, l’association donne ici les chiffres issus des données officielles de la SNCF. Or, ceux-ci ne prennent pas en compte les trains déprogrammés, ni les retards de moins de 6 minutes.

Retard de 18 minutes en moyenne

Pour concrétiser en chiffres le quotidien des Toulousains, l’UFC Que Choisir a lancé en mai 2015 l’application mobile «Anti-retards». Celle-ci permet aux utilisateurs des trains régionaux de signaler les incidents rencontrés (annulations, retards). En cinq mois, explique l’UFC, les utilisateurs de l’application ont fait remonter 717 incidents : 71 % concernaient des retards, et 29 % des annulations de trains.

Le retard moyen constaté en Midi-Pyrénées grâce à l’application s’élève à 18 minutes. Et dans 50 % des cas (!), la SNCF n’a communiqué aucun motif d’explication aux voyageurs.

«Trop, c’est trop. Il est temps que les candidats aux régionales (6 et 13 décembre prochains, N.D.L.R.) s’engagent, explique Sylvie Pradelle, présidente de l’UFC Que Choisir Toulouse. Et qu’ils le fassent précisément».

L’association préconise deux solutions pour améliorer le quotidien des usagers, et inciter la SNCF à véritablement agir pour la ponctualité de ses trains : un droit au remboursement automatique en cas de retards récurrents sur les lignes, et une politique de bonus/malus, qui ferait baisser les paiements de la région en cas de retards trop nombreux.

«Actuellement, on privilégie le TGV, qui transporte très peu de personnes, en regard des millions de voyageurs quotidiens qui prennent le TER dans notre région», explique Danielle Charles, de l’Association des usagers des transports de l’agglo toulousaine et environ (1). Avec plusieurs autres associations d’usagers, elle souhaite «faire pression sur l’exécutif politique».

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illustration : photo DDM

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[La Tribune ObjNews] : Métro à Labège : le Sicoval pose une première pierre symbolique pour faire réagir le maire de Toulouse

Une première pierre très symbolique sur le tracé même du futur PLB a été posée ce mercredi 2 décembre par Jacques Oberti, président du Sicoval, et les élus des 36 communes du territoire, en présence de Georges Méric, président du Conseil départemental. Un nouveau coup d’éclat pour exhorter Tisséo et Jean-Luc Moudenc à lancer les appels d’offres nécessaires au démarrage des travaux.

La brochette d’élus du Sicoval était pratiquement complète aujourd’hui dans le vaste hangar qui jouxte le siège social du Sicoval à Labège. Les élus ou adjoints des 36 communes ont répondu présent à l’appel de Jacques Oberti afin de poser la première  pierre du PLB  (prolongement de la ligne B) et présenter à la presse le prototype du viaduc qui devrait accueillir les rails du métro. Pour rappel, le projet est pour le moment suspendu à la décision du maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc, qui n’y est pas favorable.

Derrière les écharpes tricolores et les sourires, le ton est rapidement devenu offensif. Après avoir remercié les élus d’avoir « joué le jeu de cette image très symbolique », Jacques Oberti, le président du Sicoval, est entré dans le vif du sujet.

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