J’essaye de revenir de Lyon le dernier dimanche des vacances, entre le 1er et le 8 mai : offre 100 % supprimée entre Montpellier et Toulouse. Motif : « travaux coup de poing » comme fait maintenant la SNCF chaque année à la même époque.
Outre que cette méthode laisse songeur et que les dates choisies sont pour le moins imbéciles, l’absence d’offre routière de substitution me scandalise carrément. Le service public n’a-t-il pas une obligation légale de continuité ?
Vous semble-t-il possible de saisir le médiateur de la FNAUT ? De faire un recours gracieux menaçant d’un recours contentieux ? Ou au moins du tapage presse ? De saisir du problème la présidente Région et la Ministre ?
Une telle volonté de nuire au rail et à l’écomobilité me sidère.
Généralement la Région négocie avec la SNCF la mise en place de services routiers de substitution lorsque le service est interrompu mais seulement si les TER sont concernés.
Si c’est le cas, il est possible de saisir le Conseil régional de ce problème. Normalement il devrait y avoir une rencontre de l’AUTATE avec la direction transport avant la fin du mois.
Si c’est un ou des intercités, là c’est le problème du ministère des transports. On peut aussi le saisir, mais par courrier.
Mais aussi le problème peut être porté par la FNAUT. Contacter Marc Debrincat qui est le juriste de la FNAUT. marc.debrincat@fnaut.fr
Si tu veux qu’on donne suite quand même il faudrait avoir toutes les précisions sur le jour, le ou les trains supprimés.