[France Bleu] Toulouse : pétition au lycée Bellevue contre le projet de tracé du téléphérique urbain

Un article de  Julien Laignez publié le 30/05/2016

Le parc verdoyant du lycée Bellevue à Toulouse © Radio France – Julien Laignez

La station terminus de l’aérotram urbain sud devrait être construite à l’entrée du lycée Bellevue dans le quartier Rangueil. Les parents d’élèves, les enseignants et les lycéens s’inquiètent des conséquences sur l’environnement et la sécurité.

Le lycée Bellevue à Rangueil ne veut pas des oeufs du futur téléphérique au dessus de la tête de ses élèves et professeurs.

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[La Dépêche] Escalators du métro : changez tout !

Un article de Philippe Emery publié le 30/05/2016

Les 83 escaliers roulants de la ligne B, défectueux dès l’origine vont devoir être tous changés, au bout d’à peine 10 ans de (dys) fonctionnement. Tisséo va aussi changer ceux de la ligne A.

Quoi de plus crispant, lorsque vous sortez d’une rame de métro bondée, que de tomber sur un escalier mécanique en panne, à l’arrêt. Si en plus vous êtes chargé d’une valise ou d’un sac à provisions, bonjour la galère !

À Toulouse, sur la ligne B du métro, la mésaventure est plus que courante. D’ici 2024, cela ne devrait plus arriver puisque les 83 escalators de la ligne B, défectueux dès la mise en service en 2007, vont être remplacés par de nouveaux modèles, qu’on espère plus sûrs, à partir de 2018.

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[La Dépêche] Les scénarios qui sont explorés

Un article de J.-M.D. publié le 30/05/2016

Financement public avec allongement de la dette et fonds souverains.

C’est la solution préconisée par une large partie des élus du Grand Sud, tant du côté de Midi-Pyrénées que d’Aquitaine. «Tenons compte du principe de réalité, martèle Jean-Louis Chauzy, le président de l’association EuroSud Transport qui organisait récemment un colloque sur la problématique des transports et leur financement. Dans un contexte marqué par une baisse des ressources financières, tant du côté des collectivités que de l’État, la solution passe pour Carole Delga, présidente de Région, par un «mode de fonctionnement innovant», en s’inspirant des montages financiers expérimentés ailleurs, en faisant aussi appel au privé, et en recherchant d’autres ressources fiscales à partir de taxes locales spécifiques. «La taxe sur les bureaux, ce n’est pas que pour le Grand Paris !», souligne Jean-Louis Chauzy, qui est aussi le président du Ceser. Plusieurs pistes nouvelles ont été évoquées. D’abord allonger la durée de la dette pour rendre la charge plus supportable pour les collectivités locales. C’est possible, la Caisse des dépôts ayant elle-même porté à 45 ans son financement pour le Grand Paris. Une démarche a été conduite dans ce sens par Carole Delga auprès de la Banque européenne d’investissement. S’ouvre également la possibilité de faire appel à des fonds souverains étrangers pour boucler les financements. C’est d’ailleurs ce qui est prévu pour l’itinéraire européen E9 entre Ax-les-Thermes et Puycerda. On peut espérer aussi plus de financements de l’Europe au nom de l’interconnexion ferroviaire. Côté aquitain, Alain Rousset et Alain Juppé poussent dans ce sens, jugeant ces aides insuffisantes.

Un partenariat public privé comme pour Tours-Bordeaux

Le projet de Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA) Tours-Bordeaux (8 Mds d’euros) a été rendu possible en juin 2011 par la signature du plus important partenariat public-privé ferroviaire en Europe. En parallèle des fonds propres apportés par Lisea, (filiale de Vinci), le plan de financement est composé d’une subvention publique de 3 milliards d’euros versée par l’État, les collectivités et l’Europe, d’une contribution de SNCF Réseau d’ 1 milliard d’euros. «Le PPP, c’est compliqué à mettre en œuvre, compliqué à réussir. Ce type de partenariat n’est pas la panacée. La preuve, c’est qu’il y a très souvent des renégociations, comme on le voit pour Tours-Bordeaux. On a augmenté le nombre de dessertes sous la pression du concessionnaire, mais qui va les payer, l’État, les collectivités», explique Marc Ivaldi. L’économiste serait favorable à un PPP pour Bordeaux-Toulouse. «Mais comment ne pas reproduire les mêmes erreurs, comment bâtir un «PPP» sain, transparent, incitatif, capable in fine de mieux cerner les coûts, ajoute le chercheur (lire ci-dessous).

Une ouverture à la concurrence ?

C’est l’autre piste évoquée notamment par la Toulouse School of economics : ouvrir à la concurrence un service TGV entre Paris-Bordeaux et Toulouse : «Il faut construire la ligne, trouver les financements pour la réaliser, et, ensuite, mettre en concession l’exploitation. Autrement dit, mettre la SNCF en concurrence avec la Deutsche Bahn, avec les Italiens, les Espagnols, les Anglais pour le service aux usagers. On aura ainsi de vraies explications sur les coûts. il s’agit là, non pas de décisions politiques, mais économiques», conclut TSE.

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[France 3 Midi-Py] Aérotram de Toulouse : élèves, profs et parents s’opposent au survol du lycée Bellevue par le téléphérique

Un article publié le 30/05/2016 © Mathilde Laban/France 3 Midi-Pyrénées Le futur téléphérique devrait survoler le lycée bellevue et l’amputer d’une partie de son patrimoine

 

Les élèves, le personnel de l’établissement et les parents d’élèves du lycée Bellevue s’inquiètent de l’implantation de la gare de l’Aérotram et du parcours de la ligne téléphérique dans et au-dessus du lycée Bellevue.

Une pétition destinée à Tisséo, la mairie de Toulouse, Toulouse métropole et la STMC, qui a pour le moment recueilli un peu plus d’une centaine de signatures, vient d’ailleurs d’être mise en ligne.

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[La Dépêche] Toulouse : une pétition contre le survol du lycée Bellevue par le futur téléphérique

Un article publié le 30/05/2016 DDM illustration

Les élèves, le personnel de l’établissement et les parents d’élèves du lycée Bellevue s’inquiètent de l’implantation de la gare de l’Aérotram et du parcours de la ligne téléphérique dans et au-dessus du lycée Bellevue.

Une pétition destinée à Tisséo, la mairie de Toulouse, Toulouse métropole et la STMC, qui a pour le moment recueilli un peu plus d’une centaine de signatures, vient d’ailleurs d’être mise en ligne.

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Acheter un ticket Colomiers-Pibrac ?!

Bonsoir,
J’ai une carte pastel Tisséo. J’habite à Pibrac.
Quand je veux aller de l’aéroport de Blagnac à Pibrac, je prends le TRAM jusqu’aux Arènes et ensuite le train jusqu’à Pibrac. Il y a un problème : impossibilité d’acheter un ticket pour la partie Colomiers-Pibrac. Aux Arènes il n’y a pas de distributeur et à Colomiers le temps d’aller acheter un ticket, le train est reparti. La seule solution est de ne pas payer le trajet, c’est ce que je fais. Pour le moment je n’ai jamais été contrôlé. A quand le prolongement de la ligne C ?

Je suis à Pibrac depuis 20 ans, chaque année on nous dit que dans deux ans le prolongement sera effectif. Nous attendons!!!!
Pouvez-vous m’éclairer?
E.C.

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[ActuCôtéToulouse] Métro toulousain. Trop de pannes et 27 millions d’euros pour remplacer les escalators de la ligne B

Un article de Gwendoline Kervella publié le 26/05/2016

Tisséo a établi une stratégie de remplacement des escalators du métro toulousain, notamment ceux de la ligne B, régulièrement en panne. Et l’addition s’annonce salée. Explications.

Les escalators de la ligne B seront tous remplacés à partir de 2017. Le comité syndical de Tisséo a voté, mercredi 25 mai 2016, la stratégie de remplacement de la totalité des escaliers mécaniques du métro toulousain : un investissement de 40 millions d’euros, dont 27 pour les équipements de la ligne B, sujets à de nombreux dysfonctionnements.

83 appareils à remplacer prématurément

La ligne B du métro est équipée de 83 escaliers mécaniques mis en service en 2007. Leur durée de vie théorique était de 30 ans, mais de nombreux problèmes sont apparus et les pannes se sont multipliées.

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[Le Figaro] Le partenariat public-privé ne fait pas l’unanimité

Un article de Jean-Yves Guerin publié le 25/05/2016

Lignes TGV, stades, hôpitaux, prisons… ce montage est utilisé pour financer toutes sortes d’infrastructures publiques. L’année dernière, 41 projets de ce type ont été agréés, pour un montant total de 15 milliards d’euros.

Importée du Royaume-Uni au milieu des années 2000, la formule du PPP (partenariat public-privé) a connu un développement exponentiel depuis. Lignes TGV, stades, hôpitaux, prisons… ce montage est utilisé pour financer toutes sortes d’infrastructures publiques. L’année dernière, 41 projets de ce type ont été agréés, pour un montant total de 15 milliards d’euros.

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[La Tribune] LGV Bordeaux-Toulouse : avis positif du Conseil d’État, mais toujours pas de financement

Un article de Florine Galéron  publié le

Après l’avis favorable du Conseil d’État, la publication de la déclaration d’utilité publique pour la LGV Bordeaux-Toulouse est prévue d’ici au 8 juin. Cette décision marque une avancée cruciale pour lancer les travaux de la ligne à grande vitesse. Mais la question du financement reste entière.

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[ToulEco] LGV Toulouse – Bordeaux : il faudra innover pour trouver les financements

le mercredi 25 mai 2016  Martin Venzal

C’est un nouveau feu vert pour le chantier de la Ligne à Grande Vitesse Bordeaux-Toulouse que vient d’allumer le Conseil d’État. Mais le chantier reste suspendu à la question cruciale du financement. Où trouver les 8 à 9 milliards d’euros nécessaires ?

La Ligne à Grande Vitesse entre Toulouse et Bordeaux a reçu le feu vert du conseil d’État, qui a rendu, ce mercredi 25 mai, un avis favorable au GPSO, le Grand projet ferroviaire du sud-ouest. Une décision qui doit logiquement déboucher sur la déclaration d’utilité publique prononcée par l’État d’ici le 8 juin.
La décision a été saluée de façon unanime par tous les élus locaux, du maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc qui accueille « une très bonne nouvelle pour tout le sud-ouest », à la présidente du conseil régional LRMP Carole Delga pour qui « cette décision va dans le sens que nous défendons depuis des années », jusqu’au président du conseil départemental Haute-Garonne Georges Méric, qui affirme que cette annonce « marque une étape majeure dans le raccordement (du) département ».

Champagne ? Pas encore… Il reste un grand nombre de questions en suspens, avant de placer Toulouse à 3h10 de Paris par le rail, notamment sur le calendrier et le financement. Et si la LGV est attendue pour 2024, c’est-à-dire dans moins de dix ans, les pelles et les pioches restent pour l’instant au fond du placard, les études ne sont d’ailleurs pas encore achevées. Tous les décideurs, ou presque – les élus verts EELV dénoncent une solution de transports inadaptée – s’accordent sur le bien fondé de cette Ligne à Grande Vitesse, mais personne ne sait encore réellement comment la financer.

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