Tag Archives: embouteillages

galère d’usager pendant l’été

Ce matin (le 17/07/2017), que des mauvaises idées:

1. Mauvaise idée de travailler alors que Tisseo est en vacances.
2. Mauvaise idée de prendre deux bus  34 + 78 pour aller bosser.
3. Mauvaise idée pour le 34 d’arriver à Paul Sab juste après le départ du 78.
4. Mauvaise idée pour le 78 d’être cadencé toutes les 20 minutes.

Résultat:

1. Personne (ou presque) dans le 34 : plus les bus sont rares plus ils sont vides, plus les bus sont vides plus ils sont rares.
2. Encore des gens debout dans le 78 : il a beau être rare celui-là, on l’aime troooooooooooooooooop !

Ce soir (le 17/07/2017), ça continue :

Donc à la seconde heure de « pointe » de la journée, c-à-d 18h00, le 78 arrive toujours glorieusement avec un bus toutes les 20 minutes. Résultat évidemment, même (surtout ?) pendant les vacances, il est plein lorsqu’il arrive à la fac de pharmacie. Ou plutôt derrière, à cause des travaux rue des Maraîchers.

Donc il poursuit sa route tant bien que mal sur les ralentisseurs du campus, et il passe par l’entrée principale de la fac, soit juste à côté de l’entrée du métro Paul Sabatier, et à 50m de la gare de bus. Mais… les chefs de Tisséo ont de l’humour, il n’a « pas le droit » (dixit le chauffeur) de descendre ses passagers à cet endroit, il lui faut faire tout le tour du quartier, soit quelques centaines de mètres pleines de voitures et de feux rouges (3 exactement).

Il a pu me faire descendre à l’arrêt Pont Ducoing, j’ai alors rejoint à pied l’arrêt Pont Ducoing dans l’autre sens (ce qui suppose traverser un tas de routes pas bien faites pour ça)… et l’honnêteté m’oblige à reconnaître que j’ai finalement eu mon bus 34.

Là, gros bouchons sur la rocade, donc gros bouchon route de Narbonne à la hauteur de Jules Julien…. mais, ô joie le 34 dépasse toutes les voitures grâce à son couloir de bus ! Donc tout est bien qui finit bien, et merci les couloirs de bus !

Emmanuel C.

Share

liaisons depuis Blagnac

J’habite à Blagnac, rue des colombes, entre la patinoire et la place du relais. Depuis qu’ils ont ouvert le T2, quand je sors le soir à Toulouse, je prends ma voiture et je m’avance à Ancely (Toulouse) et je me gare au milieu des immeubles de la cité d’Ancely car sinon, pour rentrer après, il faut que j’attende de voir arriver un T1. Et comme ils alternent les T2 et T1, si je rate le T1, qui est plus près de chez moi, faut que j’attende une demi-heure. Du coup, je m’avance en voiture mais l’autre soir, c’était complètement bouché et j’ai mis 3/4 d’heure avant d’arriver à Ancely en voiture depuis chez moi : c’est dingue.

Patrick

Share

[La Dépêche] Toulouse, 5ème ville la plus embouteillée de France

Un article publié le 17/03/2016

Comme tous les ans à la même époque, l’Inrix, spécialisée dans la mesure du trafic automobile a sorti son étude du trafic routier en France et son classement des villes les plus embouteillées de l’hexagone. Sans vraiment beaucoup de surprise, le classement est largement dominé par Paris. Les habitants de la Capitale ont en effet perdu la bagatelle de 45.35 heures dans les embouteillages en 2015, soit près de deux jours coincés dans leur voiture. Derrière, suivent Lyon avec 36.07 heures, Toulon, avec 35.48 heures, Bordeaux, avec 34.83 heures et… Toulouse.

lire la suite

Share

[La Dépêche] Pourquoi il faut le métro à Labège

Un article de Claire Raynaud publié dans la Dépêche du midi du 03/03/2016

Alors que le bras de fer concernant le prolongement de la ligne B du métro se poursuit entre le Sicoval et Toulouse Métropole, il est impératif de sortir de l’impasse.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le PLB (Prolongement de la ligne B) du métro à Labège concerne un bassin de vie de 70 000 personnes, qui accueille mille nouveaux habitants chaque année. La zone compte également 3000 étudiants et 20 000 salariés, au sein de 900 entreprises.

Ceux qui vivent et travaillent dans le sud-est toulousain le savent parfaitement : Labège-Innopole est un véritable goulot d’étranglement. C’est le cauchemar de tous les automobilistes, qui, matin et soir, s’y rendent ou sont obligés de traverser la zone pour des raisons professionnelles ou pour aller y faire leurs courses.

Avec des trafics supérieurs à 20 000 véhicules par jour, les axes qui permettent de relier Labège (RD2, RD16, RD813 et RD4) sont, eux aussi, totalement saturés. Et les embouteillages de Labège Innopole ont des répercussions sur tout le périphérique au sud de Toulouse. Ce n’est sans doute pas un hasard, justement, si l’A620, est, avec ses 23,6 km de bouchons quotidiens en moyenne, l’axe le plus embouteillé de France.

«L’agglomération toulousaine est globalement très en retard en termes de transports en commun, assène Jacques Oberti, le président du Sicoval, qui regroupe 36 communes du secteur. Ce projet de prolongement de la ligne B a mis quinze ans à aboutir. La commission d’enquête publique a donné un avis favorable avant l’été, la Préfecture avait autorisé le début des travaux du PLB sous réserve de mesures de compensation environnementales, le financement était bouclé mais la décision finale revenait à Toulouse Métropole. En janvier, nous avons donc commencé les négociations finales avec la métropole. Mais il s’est vite avéré que c’était le pot de terre contre le pot de fer. Toulouse Métropole, c’est 700 000 habitants et le Sicoval, c’est 75 000, alors pour Tisséo, ces 75 000 là, visiblement ne comptent pas beaucoup.»

lire la suite

Share