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Suite à l’étude du Conseil scientifique sur le RER…

ÉLÉMENTS DE RÉPONSE au Conseil scientifique ET GROUPE MIROIR post-débat 3ème ligne de métro

mercredi 29 novembre 2017

Suite à l’Avis du Conseil Scientifique sur l’étoile ferroviaire, nous nous interrogeons sur certains éléments énoncés et avons regroupé nos interrogations en 4 volets :

Question 1 : l’AUTATE interroge le Conseil Scientifique sur le volet financier de cette étude et pose la question du véritable coût :

– Le coût total de 3.5 milliards d’Euros intègre des investissements déjà programmés ou en phase d’étude (AFNT, finalisation du doublement Arènes-Colomiers). De plus ces coûts intègrent un financement partagé entre un nombre supérieur d’acteurs que le Projet Mobilités actuel, et bénéficient à d’autres systèmes de déplacements tels que le TGV, les TER, les Intercités. Le coût du RER couvre des besoins de déplacements à différentes échelles.

– Le doublement envisagé de la voie sur 150 km entre Rouffiac et Tanus est relatif à une étude de desserte au 1/4 d’heure entre Toulouse et St Sulpice faite il y a quelques années. (Ce qui a été dit lors de la première réunion). Or, le projet de l’AUTATE mentionne un cadencement au 1/4 d’heure uniquement sur la partie déjà à double voie entre Rouffiac et Matabiau. Le doublement jusqu’à Tanus semble donc hors de propos.

Question 2 : l’AUTATE interroge le Conseil Scientifique sur l’analyse urbaine réalisée par le Conseil Scientifique :

L’aire d’influence d’une gare est fixée à 10 minutes. Il n’est pas mentionné s’il s’agit de 10 min en voiture ou à pied. Selon les chiffres de population, il semble que ce soit à pied, or l’on sait que la zone d’influence d’une gare va bien au delà de 10 minutes à pied en particulier si le pôle d’intermodalité qu’est la gare bénéficie d’un bon système de rabattements en transports en commun et de parkings relais (vélo et voiture). Pour prendre l’exemple de la gare de Portet-St-Simon, la zone d’influence peut inclure les villes de Cugnaux et Villeneuve-Tolosane.

Question 3 : l’AUTATE interroge le Conseil Scientifique sur la participation de la Région Occitanie dans cette étude :

Malgré de nombreux arguments à charge dans cette étude qui semble accréditer l’idée que le RER est inadapté et trop cher pour la métropole toulousaine, nous notons cependant que les conclusions proposent d’anticiper la mise en place d’un RER à plus long terme. Bien que cette notion de long terme nous paraisse peu adaptée aux besoins actuels des usagers, nous considérons que c’est un pas en avant salutaire qui avec les déclarations de l’État, par la voix d’Elisabeth Borne, qui priorise les trains quotidiens et ouvre la voie à des RER en région.

Question 4 : l’AUTATE interroge le Conseil Scientifique sur la possibilité de réaliser cette alternative, étape par étape :

Il est donc urgent que les acteurs de la mobilité sur la grande région toulousaine rentrent enfin en phase de dialogue constructif et prennent la même direction que les autres métropoles européennes de taille équivalente (Turin, Bruxelles, Bilbao, Prague, …) qui mettent en place progressivement des réseaux régionaux de trains permettant d’améliorer la circulation des usagers sur leur bassin de vie.

Nous demandons que ces acteurs se rencontrent rapidement : Etat, région, SMTC mais aussi associations et entreprises (car il faut rappeler que de nombreuses zones d’activités sont à proximité de lignes ferroviaires) afin de mettre en place une stratégie et un échéancier pour le développement d’un réseau de transport en commun à l’échelle de la métropole.

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[La Dépêche] Ce qu’ils en pensent…

Un article paru dans la Dépêche du midi le 17/02/2017

JEAN-MICHEL LATTES>La 3e ligne sort confortée du débat . «J’ai tenu, en assistant à la conférence de presse de la commission particulière, à marquer l’attention qui a été la nôtre à ses actions. Nous avons mis à sa disposition tous les moyens matériels nécessaire. Les équipes de Tisséo-SMTC ont fait preuve d’une disponibilité totale. La commission a bien travaillé : elle a permis un débat riche et surtout serein. Cela a permis d’aller au fond, donc de bien faire comprendre les enjeux fondamentaux du projet. Le rapport de 160 pages va faire l’objet d’une analyse approfondie. Nous déciderons collégialement de la suite qui lui sera donnée. C’est avec optimisme et volontarisme que je vais aborder les prochaines étapes. J’ai la conviction profonde que notre projet sort renforcé de cet exercice démocratique».

L’AUTATE>Un rapport qui n’ose pas. L’Autate (association des usagers des transports de l’agglomération toulousaine et de ses environs) «s’inquiète des multiples non-réponses du SMTC à des questions majeures, ainsi que ses comparaisons partiales de l’efficacité du métro vis-à-vis des autres modes de transport (tramways, train) très éloignées des retours d’expérience ailleurs en France. Nous nous inquiétons également du fait qu’après un an de concertation et de débat public, le projet de révision du PDU n’ait pas bougé d’un iota. La commission a demandé que notre projet soit évalué sérieusement par un comité scientifique indépendant. Nous resterons vigilants…»

VELORUTION> Métro, boulot, dodo, pas de vélo. «Tout tourne autour du métro et réduire la place de la bagnole est le dernier des soucis, il n’est pas prévu qu’elle diminue dans le cadre du PDU (plan de déplacements urbains)».

COLLECTIF CITOYEN>La menace d’un recours juridique. «La CNDP soutient nos demandes. Nous exigeons que les variantes de tracé soient toutes étudiées et comparées objectivement avec celles de Tisséo. Auquel cas, dans les phases à venir avant l’enquête publique, nous ne verserons alors plus dans «l’approbation critique» mais dans l’opposition pure et simple au projet. Nous serions alors contraints et prêts à utiliser toutes les voies de droit pour opposer un recours juridique, susceptible d’empêcher tout lancement du chantier avant la fin du mandat municipal».

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[La Dépêche] Une 3e ligne de métro à améliorer en tenant compte des critiques

Un article de Philippe Emery paru dans la Dépêche du midi le 17/02/2017

Le rapport de la CPDP, publié hier, fait état des critiques issues du débat public, et des recommandations de la commission. Au SMTC d’en tenir compte pour asseoir un projet «plutôt opportun».

Un projet de 3e ligne «plutôt opportun dans ses objectifs, cohérent dans les grands principes de son tracé et prioritaire dans sa réalisation». La commission nationale du débat public, a résumé ainsi, hier, l’avis assez positif du grand public interrogé lors du débat organisé du 12 septembre au 17 décembre 2016 sur le projet.

 

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Bilan du Débat Public sur la troisième ligne de métro : Un rapport qui n’ose pas.

L’AUTATE remercie la Commission Particulière du Débat Public (CPDP) pour la qualité du débat qu’elle a organisé. Elle constate toutefois que dans son rapport final, dans sa volonté d’impartialité, la CPDP fait trop confiance au SMTC pour poursuivre une concertation de même qualité jusqu’à l’enquête publique. En effet, si le maître d’ouvrage reprend à son compte la suite du débat public, il y a un fort risque de partialité en faveur du projet de 3ème ligne en l’état, et du nouveau PDU dont il est l’investissement le plus lourd.

D’ores et déjà, l’AUTATE s’inquiète des multiples non-réponses du SMTC à des questions majeures qui avaient été posées sur internet ou lors des débats, ainsi que ses comparaisons partiales de l’efficacité du métro vis-à-vis des autres modes de transport (tramways, train) très éloignées des retours d’expérience ailleurs en France.

Nous nous inquiétons également du fait qu’après un an de concertation et de débat public, le projet de révision du PDU n’ait pas bougé d’un iota.

De même, dans son rapport, l’enjeu du financement du métro n’a pas été suffisamment questionné. Le rapport ne souligne pas la sous-estimation de 500 millions € du coût de la ligne faite par le SMTC, l’impact des 120 millions € annuels des intérêts financiers, la capacité des collectivités à doubler leur participation, et les nombreux aléas (20 % selon l’expert de la RATP)…

La CPDP ne souligne pas la faiblesse de la fréquentation, telle que nous l’avons pointée, alors que le chiffre annoncé de 180 000 personnes par jour correspond plus à une ligne de 10 km de métro que de 28 km. Cet argument devrait suffire à remettre en cause le projet de 3ème ligne.

Un projet de métro se justifie uniquement là où se trouvent des fuseaux de fréquentation suffisants.

Une infrastructure sous-utilisée réduit fortement les possibilités de maillage du réseau.

Par contre l’AUTATE se félicite que la commission ait demandé, page 105 de son rapport, que notre contre-projet soit évalué sérieusement par un comité scientifique indépendant du SMTC.

Nous resterons vigilants à ce que cette recommandation soit concrétisée et annexée à l’enquête publique.

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Compte-rendu établi par le Président de la Commission particulière du débat public

Pour lire le compte-rendu de 118 pages

Nous vous recommandons la page 105 : « Dans ce contexte, la commission souhaite que soient étudiées avec un soin et une grande rigueur les solutions alternatives proposées par le Collectif citoyen et par l’Autate, notamment sous l’angle de leurs coûts et de leurs impacts sur l’ensemble des enjeux et du diagnostic évoqués en début de la 3ème partie du présent rapport.

Afin que la légitimité de la démarche soit complète, il importe que ces alternatives soient soumises à expertise dans la présentation et la description qu’en feront leurs initiateurs et avec leur concours.

Le maître d’ouvrage ne pourrait pas durablement rester sur la position qui consisterait à contester leur représentativité, d’autant que le débat a fait apparaître que ces groupements étaient aussi porteurs d’interrogations partagées dans le grand public.

Il serait délicat que cette évaluation soit conduite sous la seule égide du maître d’ouvrage. »

 

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Les positions des acteurs dans le débat 3eme ligne

 

Les positions des acteurs dans le débat 3eme ligne (décembre 2016)

Cliquer sur les numéros pour consulter les points de vue  sur le site dédié au débat sur la 3ème ligne de métro par la Commission nationale du Débat Public

POUR (y compris prolongement aéroport) CONTRE
N° 3. Mairie de Blagnac (Aéroport)

N° 16 Aéroport (Aéroport)

N° 24 Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Haute-Garonne

N° 28 M. Servouse (Aéroport)

N° 30 Airbus zone aéroportuaire (Aéroport)

N° 32 Contribution de l’Association de sauvegarde des intérêts de Saint-Martin-du-Touch (+ train)

N° 33 CCI (Chambre de commerce et d’industrie)

N° 34 Fédération des travaux publics Midi-Pyrénées

N° 41 Eurosud Transport (Aéroport)

N° 48 Airbus Defence & Space

N° 54 MEDEF Occitanie

N°58 ATR

N° 59 SNCF

N°62 ST Orens

N° 70 Stade toulousain

N° 71 Atelier d’urbanisme Latdiagonal (Paris)

N° 79 Automobile Club

N° 74 Mairie de Castelginest

N° 77 CHU Purpan

N° 78 Club d’entreprises Réussir

N° 80 GESET

N° 81 Région Occitanie

N° 82 Fédération française du paysage

N° 83. Rockwell Collins

N° 4 et N° 8 AUTATE (association des usagers des transports)

N° 10 Bernard Marquié

N° 13 EELV (Europe Écologie les Verts)

N° 15 FNE (France Nature Environnement)

N°17 et N° 72 Collectif Tuck

N° 19 Georges Laborie, Conseiller municipal Castelginest

N° 20 et N° 57 Vélorution

N° 27 TAE (Tournefeuille Avenir Environnement)

N° 29 CGT Régie Tisséo

N° 31 Collectif du désert de l’Ouest

N°  217 CCNAAT (Collectif Contre les Nuisances Aériennes de l’Aéroport de Toulouse)

N° 37 Philippe FRANCAIS-DEMAY (MONTLAUR)

N° 44 ABAVE (Association Blagnac à Vivre Environnement)

N° 45 Association pour la Défense de l’Environnement et la Qualité (Arènes romaines Toulouse)

N° 47   2P2R (2 Pieds 2 Roues)

N° 55 Nordenvie

N° 66 Collectif des Associations des Pradettes

N° 67 ST’O Citoyenne (Saint-Orens-de-Gameville)

N° 68 PCF 31 (Parti Communiste Français Haute-Garonne)

 

DUBITATIF (demande autres investissements)
N° 2 et N° 18 et N°38 Groupe Métropole Citoyenne (Marc Péré)

N° 14 et N° 49 les CODEV (Conseils développement)

N° 23 UD CGT 31

N° 26 CFDT

N° 35 Jean-Marc SOUCHON

N° 36 Groupes Socialiste Toulouse – Métropole (Toulouse)

N° 39 CESER (Conseil Économique, Social et Environnemental Régional)

N° 40 Jeanny Bouton (SCEAUX)

N° 46 CFE-CGC

N° 50 CFDT Midi-Pyrénées

N° 51 La FEVE (Fédération des Élus écologistes)

N° 53 Lauragais en transition (Escalquens)

N° 61 Maire de Tournefeuille

N° 65 Bernard Dalle (Toulouse)

 

Contributions NEUTRES
N° 52 Cahier d’acteur Collectif Inter Associatif Handicap 31

N° 60 Chambre Régionale de l’Économie Sociale et Solidaire

N° 76 APUMP (assoc. Professionnels de l’Urbanisme de Midi-Pyrénées)

 

Contributions POUR avec modifications parcours
N°1  Argumentaire citoyen pour ligne optimisée

N° 7 Jean Louis Deligny

N° 5 et 25 Ascobaz (copropriétés du Bazacle)

N° 6 Association des entreprises de la plaine (Cité de l’Espace)

N° 9 M. Jouclas, résidant dans le quartier Toulouse-Est

N° 11 Association Escalquens Plus harmonieux

N° 21 Conseil départemental

N° 22 Association Bonhoure Guilheméry

N° 42 Alain Roy (Quartier chalets)

N° 56 Sicoval et Labège

N° 64 Ville de Colomiers

N° 63 Alain LAFFITTE (TOULOUSE)

N° 69Alain Kroon (Castelginest)

N° 73  et N° 43 LM Lambert : La desserte des quartiers est en question

N° 75 Thibault HEMADOU (Proposition de tracé Colomiers Sept-Deniers)

 

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[La Dépêche] La troisième ligne de métro ne doit pas oublier l’équilibre de l’agglomération

Un article de Gilles-R. Souillés paru dans la dépêche du midi le 21/12/2016

Le débat sur la troisième ligne de métro s’est achevé en fin de semaine passée, avec les conclusions préliminaires de la Commission Particulière du Débat Public (CPDP) chargée de l’organiser. Si tout le monde se félicite du grand succès démocratique de la consultation, tant par le nombre de participants que d’avis déposés, la pertinence du projet est sujette à des critiques, concernant notamment la nécessité d’un véritable réseau de transports publics pensé à l’échelle de l’agglomération et ne dépendant pas exclusivement du métro. «Face à la congestion routière, les citoyens ont bien perçu l’urgence de ce débat, souligne Europe-Ecologie-les-Verts (EELV). Si la plupart voient dans le métro un moyen de transport rapide et de bonne capacité, un certain nombre de contradictions ont été mises en évidence, qui ne permettent pas de poursuivre le projet tel que proposé jusqu’à présent par le SMTC-Tisséo». Parmi les problèmes soulevés par la consultation et les Verts, le déséquilibre territorial entre Toulouse et les communes de la métropole, notamment à l’ouest où des communes comme Tournefeuille se sentent un peu oubliées, malgré le projet de ligne de bus Linéo3 et l’hypothétique prolongement de la ligne A du métro, qui n’est pas pour demain. Sans parler de la (non) jonction de la troisième ligne avec l’aéroport… «La participation citoyenne a montré la volonté d’un véritable maillage de notre aire urbaine en transports publics», estime les écologistes qui émettent des doutes «sur les problèmes posés par les 40 % du tracé du métro prévus en aérien», en insistant sur des solutions alternatives : réseau de bus avec voies dédiées, tramway, utilisation de l’étoile ferroviaire, développement de voies piétonnes et cyclables, prolongement des lignes de métro existantes, mais aussi, pourquoi pas imaginer un tracé alternatif pour la troisième… Les Verts s’inquiètent surtout du développement urbain et de la densification de l’habitat autour du tracé proposé. «Il faut mener à bien le débat sur l’urbanisme avant tout, puis apporter les réponses en matière de mobilités», assurent-ils en plaidant pour une consultation à l’échelle de l’agglomération sur les questions d’aménagement du territoire. «Il n’est pas d’autre voie possible pour que notre agglomération puisse devenir un jour moderne, fluide et apaisée», concluent-ils. Ce qui reste, in fine, l’enjeu principal. L’association des usagers(e) s des transports de l’agglomération Toulousaine et de ses environs (AUTATE), relève aussi la qualité du débat, mais constate que le travail de la commission a mis en évidence une fracture. «Les décideurs économiques et les politiques sont pour la troisième ligne de métro alors que les usagers sont plutôt contre. C’est David contre Goliath», explique Marie-Pierre Bès, la présidente, qui milite pour un réseau de transports publics global, du train au vélo et desservant les zones d’emplois et de résidence, à l’échelle de l’agglomération. Pour 2,1 milliards, le coût estimé de la troisième ligne, il y a sans doute de quoi trouver des solutions.

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[CoteToulouse] Troisième ligne de métro à Toulouse : les quatre infos à retenir du débat public

Le débat public sur le projet de 3e ligne de métro à Toulouse se termine samedi 17 décembre. Voici ce qu’il faut en retenir et sur quoi il va déboucher dans les semaines à venir.

C’est samedi 17 décembre 2016, après trois mois de riches et passionnés échanges, que se clôture le débat public sur le projet de troisième ligne de métro à Toulouse. Voici ce qu’il faut en retenir et sur quoi les échanges de ces dernières semaines doivent déboucher.

Le débat a mobilisé et produit des échanges de qualité

La dernière réunion publique, qui s’est tenue jeudi 15 décembre, a permis de le réaffirmer. Ce débat public a été d’excellente facture, suscitant une forte mobilisation et des débats de bonne tenue, alimentés par des argumentaires solides. Les chiffres sont éloquents : 20 476 personnes ont visité le site internet de la Commission nationale du débat public (CNDP) et ont produit 752 avis et commentaires. 290 questions ont été posées à Tisséo, le maître d’ouvrage du projet.

« Nous avons eu 4 000 conversations directes avec les citoyens et plus de 3 000 personnes ont pris part aux diverses rencontres que nous avons organisées », a appuyé le président de la CNDP, Jacques Archimbaud. Initialement pollué par la polémique sur la mise en place en 2017 de la tarification solidaire dans les transports en commun, le débat public a ensuite pris son rythme de croisière, suscitant de nombreux contre-projets de la part des collectivités locales, des entreprises comme des citoyens. Une belle réussite donc.

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Un article de David St Sernin paru le 16/12/2016

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