Revue de presse

Annonce du tracé de la 3ème ligne

https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-passera-3e-ligne-metro-decouvrez-trace-definitif-valide-tisseo_17715237.html

Notre Communiqué de presse :

Avec la 3ème ligne, un réseau gagnant ? pas sur toute la ligne.

L’association des usagers prend note du tracé définitif de la future troisième ligne de métro, après plus de 2 ans de débat. L’AUTATE a largement relayé les idées et suggestions des usagers sur ce projet, que cela soit, à propos du désert de l’ouest, de l’inutilité de la partie Sud-Est ou bien la sous-utilisation du réseau ferré. Elle fut malheureusement peu écoutée comme les autres recommandations des enquêtes publiques. Maintenant que le tracé est annoncé, l’association craint que l’investissement colossal réalisé ne soit trop concentré, pour rendre l’ensemble du réseau réellement incitatif et transformer l’automobiliste banlieusard en usager des transports urbains. Il ne faudrait pas, que cet investissement bloque toute autre amélioration, tant les besoins sont immenses. Le réseau a 30 ans de retard, si on compare à ceux d’autres grandes villes françaises (Bordeaux, Montpellier, Nantes, Lille, etc.). En l’état du projet et après consultation de nombreux usagers, l’AUTATE reconnait un fort besoin entre la gare Matabiau et celle de Colomiers, notamment au niveau des Minimes et de la Barrière de Paris. Cependant, elle insiste sur deux points majeurs : s’assurer d’un gain de temps significatif entre cette 3ème ligne et le même trajet en voiture, performer les points d’échanges intermodaux avec les Lignes A, B, et C, TER, bus, tramway. Il faut mettre fin aux bouchons quotidiens autour de la zone aéronautique et pouvoir utiliser un service de qualité. En plus, d’ici 8 ans (date d’ouverture de la 3ème ligne), 120 000 personnes supplémentaires se seront installées dans l’agglomération, soit 60 000 véhicules qui circuleront en plus sur la rocade, si la 3ème ligne de métro est trop lente et mal positionnée.

Lundi 9 juillet, 17h46

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Aménagement préalable Lineo 5

https://www.ladepeche.fr/article/2018/06/20/2821370-visite-des-amenagements-prealables-du-futur-lineo-5-5.html

Jean Michel Lattes et Thierry Suaud, ont inauguré en sportif l’accès
sécurisé de Clairfont vers la route d’Espagne./ Photo DDM.

En présence de diverses personnalités et des élus locaux, Jean-Michel
Lattes président de Tisséo collectivités et Thierry Suaud maire de
Portet ont présenté la future ligne Linéo 5 qui reliera la gare de
Portet à Toulouse Empalot à compter de septembre 2019. Des
aménagements préalables vont permettre de favoriser la circulation des
bus et des modes piétons et vélos. L’aménagement d’un nouveau
giratoire sur l’avenue Eisenhower permettra de soulager le carrefour
Dide des différents flux de la zone d’activités du Chapitre.

L’aménagement de la RD120 entre la rue des Frênes et le giratoire Dide
est également prévu avec la création d’une voie bus en direction de
Toulouse et d’un chemin «modes actifs» pour assurer la liaison entre
Portet et l’Oncopole.

Toulouse Métropole, le Muretain agglo, Tisséo collectivités et Tisséo
ingénierie sont en charge de la réalisation des aménagements de
voirie, du réaménagement et de la mise en accessibilité du tracé du
futur Linéo 5. Grâce à ses connexions avec plusieurs lignes
structurantes, la nouvelle ligne sera un maillon essentiel au niveau
de l’intermodalité dans ce territoire : ferroviaire à la gare de
Portet, métro B à Empalot, tramway T1 T2 à Croix de Pierre,
téléphérique à Oncopole, Linéo 4 et 9 respectivement à Croix de Pierre
et Empalot. Mais aussi une liaison piéton cycles Clairfont route
d’Espagne. Un accès sécurisé à la Route d’Espagne uniquement pour les
piétons et les cyclistes en provenance du quartier Clairfont enjambant
la Saudrune au travers d’une passerelle en bois, avec un éclairage LED
la hauteur des plus hautes crues et rejoindre la station des Frênes.

Toutes les personnes présentes ont pu découvrir l’aménagement en
faveur des modes actifs pour préparer l’arrivée de Linéo 5, grâce à la
coordination de la ville de Portet, du Muretain Agglo et Tisséo
collectivité.

La Dépêche du Midi

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Le téléphérique accusera quelques mois de retard

https://www.ladepeche.fr/article/2018/06/15/2818398-retard-au-demarrage-pour-le-telepherique-toulousain.html

Publié le 15/06/2018 à 07:16, Mis à jour le 15/06/2018 à 09:49

De Paul-Sabatier à l’Oncopole en passant par Rangueil, le téléphérique
accusera quelques mois de retard avec une mise en service prévue à
présent vers la fin 2020.

Se rendre du métro Université Paul-Sabatier à l’hôpital Rangueil en
quelques minutes, puis franchir la Garonne jusqu’à l’Oncopole pour le
prix d’un ticket de métro, cela sera possible en 2020 grâce au
téléphérique qui placera Toulouse parmi les pionniers de ce nouveau
mode de transport urbain.

Mais les Toulousains devront patienter un petit peu plus que prévu
pour cela car le téléphérique accuse plusieurs mois de retard. En
décembre 2016, lorsque Tisséo Collectivités choisit le groupement
piloté par Poma pour construire la ligne, le syndicat des transports
en commun annonce une mise en service «début 2020». Puis il se heurte
à une vive contestation de la part de la communauté éducative du lycée
Bellevue qui l’amène à revoir le tracé.

Pendant cinq mois début 2017, le constructeur a planché sur des
solutions alternatives. Pendant cinq autres mois, jusqu’en octobre
2017, une concertation a été organisée jusqu’à obtenir un consensus.
Une dizaine de mois supplémentaires se sont donc écoulés
principalement dans le but de déplacer la station Paul-Sabatier du
lycée jusque de l’autre côté de l’avenue de Narbonne, près de l’entrée
du campus.

Lors de l’assemblée de Tisséo Collectivités du 22 novembre, Francis
Grass, président de Tisséo Ingénierie, maître d’ouvrage délégué,
évoquait d’emblée un retard «de quelques mois». Aujourd’hui, huit mois
après cette prévision, le pilote de l’opération confirme ce délai :
pas de téléphérique début 2020, avant les élections municipales donc,
mais plutôt vers la fin de l’année, si possible «avant la fin 2020»,
avance Francis Grass qui ne se fait pas plus précis car il compte bien
«gagner du temps». Sans faire cependant la moindre «impasse
technique», notamment sur la marche à blanc.

Risque de recours

Pour l’élu, ce retard «n’est pas du temps perdu». «L’absence de
consensus sur le tracé nous aurait exposés à des recours au moment de
la Déclaration d’utilité publique.»

Depuis le choix du nouveau tracé, des études supplémentaires ont été
engagées sur trois points : la configuration de la nouvelle station
Université Paul-Sabatier, les fondations de la station CHU de Rangueil
(dont l’emplacement reste identique, près de l’entrée de l’hôpital),
et le déplacement du garage atelier de l’Oncopole à Paul-Sabatier. «Ce
travail technique, observe Francis Grass, est quasiment terminé.» Le
design des stations tel qu’on pouvait le voir sur des images de
synthèse aurait également été modifié.

Parallèlement, la procédure administrative suit son cours. Le 4 juin,
Tisséo a déposé à la préfecture un dossier qui amorce le long
processus. L’objectif du syndicat des transports est d’approuver le
dossier de la Déclaration d’utilité publique à l’automne. Pour que
l’État déclenche l’enquête publique vers février. Le nouveau tracé
implique également un surcoût de «quelques millions d’€» dont le
montant fait l’objet d’une négociation entre Tisséo et le groupement
de constructeurs.

Ce sera le plus long de France

Lors d’une conférence de presse au Salon des Transports de Paris de
Poma, mercredi, la société française leader du transport par câbles
dans le monde, a évoqué le projet de téléphérique urbain
toulousain,qui, «avec une distance de 3 kilomètres et 3 stations, sera
le plus long téléphérique urbain de France». Poma a rappelé le prix du
contrat passé entre Tisséo-Collectivités et le constructeur, qui
assurera aussi la maintenance pour le futur téléphérique urbain
reliant Oncopole, Rangueil et Université Paul-Sabatier : «En France,
plusieurs villes se tournent vers POMA pour engager leur révolution en
matière de mobilité urbaine. Toulouse a signé (en janvier 2017) une
commande de 93 millions d’euros (hors taxes) dont plus de 30% alloués
à la maintenance sur 20 ans», a déclaré Jean Souchal, président du
Directoire de la société créée il y a 82 ans sur les sommets enneigés
de l’Alpe-d’Huez . En fait, la partie conception et construction est
chiffrée à 54,60 M€ (HT) exactement, le reste (38, 2 M€ HT) étant
consacré à la maintenance sur 20 ans. Avec une facture globale de
111,4 millions d’euros TTC, le marché du téléphérique est bien loin
des premiers chiffres avancés sur le projet : 44 M€ pour le projet
initial puis 80 M€ pour le projet envisagé par l’équipe Cohen en 2014.
La différence est constituée par la partie maintenance du contrat
(1,91 M€ par an) qui ne faisait pas partie du projet de départ. La
maintenance a été intégrée au marché afin de garantir la fiabilité
totale du système, indiquait, au moment de la signature, Francis
Grass, président de Tisséo-Ingénierie.

Le débit du téléphérique sera de 1 500 personnes par heure dans chaque
sens. Ce téléphérique urbain est un 3S (trois câbles) débrayable, une
technologie éprouvée sur de nombreuses installations dans le monde, a
indiqué POMA, qui emploie 1 113 personnes dont 680 en France sur ses
différents sites industriels.

Le chiffre : 35

places> Un demi-bus par cabine. Le téléphérique offre beaucoup
d’avantages : c’est de loin, en investissement et en fonctionnement,
le mode de transport le plus économique. En site propre comme le
métro, il ne connaît pas les bouchons et propose ainsi une qualité de
service comparable. Enfin, sa capacité est équivalente à celle d’un
tramway. Ses cabines de 35 places, soit un demi-bus, permettront de
transporter 7 000 voyageurs par jour.

Philippe Emery

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Des enfants en trottinette et en poussette interdits de bus ou de métro : est-ce normal ?

Un article de David Saint-Sernin paru dans Actu Toulouse le 26 février 2018

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Début février 2018, une lectrice d’Actu Toulouse a fait remonter des expériences d’usagers de Tisséo interdits de transports pour divers motifs. Ces raisons sont-elles fondées ?

Vendredi 2 février 2018, une lectrice d’Actu Toulouse a interpellé la rédaction sur les conditions d’accès aux bus Tisséo de la métropole toulousaine. Voici ce qu’elle nous disait :

Mercredi (le 31 janvier), sur la ligne Linéo 7, je me suis vu refuser l’accès au bus en porte arrière avec mon fils de 3 ans en trottinette. Je suis donc passée à l’avant et le chauffeur m’a fait la morale pendant 15 minutes sur le fait que cela ferait un an que les trottinettes non pliantes seraient interdites. Ce matin (le 2 février, ndlr) mon mari a vu sur la même ligne de bus un enfant se voir refuser l’accès total au bus pour la même raison.

Puis notre internaute étayait :

Et en discutant avec la nounou de notre fils, celle-ci nous a appris que plusieurs de ses collègues se sont vus préciser l’interdiction des poussettes doubles ;ce qui empêche celles qui gardent deux enfants en bas âge de prendre les transports publics…

Les trottinettes non-pliantes interdites

Suite à ces signalements, Actu Toulouse s’est penché sur ce dossier… Et voici ce que Tisséo nous a répondu :

Dans les deux premiers cas de figure évoqués, les chauffeurs de bus respectifs avaient tout à fait le droit d’interdire l’accès à leurs bus aux enfants munis de trottinettes non-pliantes.

L’opérateur des transports dans l’agglomération toulousaine rappelle :

Seuls les trottinettes et les vélos pliants sont admis à bord des bus, du métro et du tram, à la seule condition d’être pliés et de ne pas gêner les autres voyageurs. Les vélos non pliants sont autorisés à bord du tram en heures creuses (non autorisés de 7h à 9h et de 16h à 19h en semaine).

LIRE AUSSI : Toulouse. Une maman monte dans le métro, mais la poussette reste à quai… avec le bébé.

Possible de prendre le bus avec une poussette double

Pour ce qui est de l’usage de la poussette, un chauffeur a également le droit d’interdire l’accès à son bus à un parent « si l’emplacement réservé aux personnes handicapées est déjà occupé ». Tisséo précise en effet :

Les poussettes sont admises dans le métro, le tram ou les bus, et transportées gratuitement à la seule condition qu’elles soient dotées d’un système de blocage des roues et surtout qu’elles puissent être logées sur un emplacement réservé aux fauteuils roulants s’il n’est pas déjà occupé. Cela vaut pour les poussettes pliantes et non-pliantes. En période d’affluence, il est bien évidemment préférable d’être équipé d’une poussette pliante. Lors des pics d’affluence, il est en effet conseillé aux parents de plier leur poussette et de porter dans leurs bras leurs enfants.

Tisséo confirme bien en revanche qu’il est tout à fait possible de prendre les bus du réseau toulousain avec une poussette double. La règle reste néanmoins la même : « Il faut absolument que la poussette puisse être stationnée dans l’emplacement réservé aux personnes handicapées », indique Tisséo.

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Linéo : la FCPE s’inquiète de la desserte du lycée Raymond-Naves en septembre

Un article de Philippe Emery paru dans La Dépêche du midi le 14 février 2018

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L’arrivée du Linéo 9 qui doit relier Toulouse à L’Union à la rentrée de septembre ne fait pas que des heureux, notamment chez les parents d’élèves du lycée Raymond-Naves. L’apparition de cette ligne à plus haute fréquence et amplitude horaire élargie (de 5h30 à minuit) se traduit en effet par une réorganisation du réseau de bus existant, avec la fusion programmée des lignes 75 et 74 en une seule ligne, dénommée 68.

Circuits directs conservés

«La ligne 75 dessert Castelmaurou, lycée Raymond-Naves et Argoulets, et permet donc une liaison directe pour le lycée», explique Carine Yannoto, présidente des parents d’élèves FCPE du collège Romain Rolland de Saint-Jean,

«avec la nouvelle organisation, les lycéens devront emprunter le 68, fusion du 75 et du 74 de Castelmaurou à Saint-Jean, traverser la place Mitterrand et la nationale pour prendre le 73 jusqu’à l’Union où ils prendront le Linéo 9 jusqu’à Raymond-Naves.

C’est beaucoup trop long, compliqué et peut présenter des dangers à Saint-Jean pour les élèves», assure la responsable FCPE.

«Pas du tout», rétorque-t-on du côté de Tisséo Voyageurs, où l’on assure que le problème est résolu, après de nombreuses réunions de concertation avec les élus du Nord-est toulousain. «Le 75 et le 74 (Rouffiac-Clinique de l’Union-Balma) sont en effet fusionnés dans la ligne 68 , qui desservira Castelmaurou, Saint-Jean, Rouffiac, clinique de l’Union et Balma, avec un niveau d’offre et de fréquence supérieur. Les scolaires de Rouffiac et Castelmaurou pourront prendre un service de bus le matin et deux l’après-midi pour les retours, directs entre ces communes et le lycée Raymond-Naves, reprenant le circuit de la ligne 75. Ceux qui ne prendront pas ces courses spécifiques n’auront à prendre que le 68 et le 73, avec changement à Saint-Jean, sur une place Mitterand pacifiée donc en toute sécurité. Le 73 mène les élèves à Atlanta, à deux pas du lycée, comme le 75», explique Jérôme Kravetz, responsable réseau bus de Tisséo Voyageurs.

La responsable FCPE s’étonne du fait que le futur super bus Linéo 9 s’arrête à L’Union et n’ira pas jusqu’à Saint-Jean.

«L’espace nécessaire pour le terminus de Linéo à Saint-Jean sur la place Mitterrand pose problème, explique Jérôme Kravetz, «mais l’extension jusqu’à Saint-Jean est en projet pour après 2020, dans le cadre du plan Mobilités».

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[La Dépêche] Bus, trains : les propositions des usagers

Bus, trains : les propositions concrètes des usagers

un article de Philippe Emery paru dans la Dépêche le 13/02/2018, à lire en ligne ICI

L’association des usagers de l’agglomération toulousaine fait des propositions concrètes pour améliorer les transports : couloirs de bus, fréquences augmentées pour certains bus et trains.

 Qu’est-ce qu’on attend pour faire davantage de couloirs réservés aux bus dans l’agglomération, notamment pour les bus Linéo qui sont trop lents pour attirer vraiment les automobilistes ? Qu’est-ce qu’on attend aussi pour augmenter la desserte de la halte ferroviaire des Ramassiers ? Pourquoi attendre le prolongement de la ligne B du métro vers Labège, hypothétiquement prévu pour 2025, pour augmenter le cadencement, la fréquence et l’amplitude horaire de la ligne de bus 79 reliant le terminus de Ramonville à Labège ? Et pourquoi ne pas faire un bus entre Minimes et Blagnac, connecté à la ligne B de métro, en attendant l’hypothétique troisième ligne ?

Voici quelques-unes des propositions concrètes de l’association des usagers des transports en commun de l’agglomération toulousaine et des environs (AUTATE), qui tenait, mercredi, son assemblée générale.

Pour l’Autate, la situation est grave dans l’agglomération toulousaine menacée d’asphyxie du fait d’un déséquilibre patent entre l’automobile et les autres modes de transport : transports en commun et modes doux (piétons et cycles), et d’un manque de volonté des décideurs pour réduire ce déséquilibre.

L’Autate, affiliée à la Fédération nationale des usagers des transports (FNAUT) revendique une centaine d’adhérents dont plusieurs associations, comme l’Union des comités de quartier de Toulouse et l’association 2 pieds, 2 roues (qui regroupent de très nombreux adhérents).

L’assemblée générale de mercredi associait ces associations membres ou partenaires, comme les Codev ou les Amis de la terre.

«Une quarantaine de personnes étaient présentes dont la moitié de visages nouveaux», s’est félicitée la présidente, Marie-Pierre Bès. Le conseil d’administration de l’Autate a été renouvelé et élargi à dix personnes «avec quatre nouveaux entrants dont des jeunes retraités issus des professions du transport», ajoute la présidente.

«L’Autate va poursuivre sa rencontre des maires de la première couronne, après Blagnac, L’Union, Tournefeuille et Cornebarrieu, pour mieux cibler les attentes de ces communes», poursuit Marie-Pierre Bès, «à L’Union, on déplore l’absence d’une halte ferroviaire, à Cornebarrieu on souhaite un parc relais au Parc-Expo futur pour pouvoir prendre le tram. Plus globalement, l’Autate veut être en capacité de faire des propositions dans le fil des recommandations du commissaire enquêteur sur la ceinture sud, qu’on veut poursuivre à l’ouest. Un deuxième axe de travail concerne les plans de déplacements entreprises (PDE) et leurs implications en termes de transport collectif».

contact@autate.fr

Le chiffre : 100

membres> à l’Autate. L’Autate revendique une centaine d’adhérents dont des associations comme l’Union des comités de quartier ou 2 pieds, 2 roues.

« Pour les bus Linéo, les gens sont contents de l’amplitude horaire élargie mais ils les trouvent trop lents pour abandonner la voiture au profit du bus ».

Marie-Pierre Bès, Autate.

 

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