Desserte Plaisance du Touch

pourquoi y-a-t-il si peu de 67, un tous les 3/4 d’heure ?. Je comprends qu’il y ait peu de monde venant de Plaisance du Touch, mais à l’heure actuelle, beaucoup de nouveaux bâtiments d’habitations ont été construits sur son itinéraire, à Toulouse même, à partir du chemin de Ramelet Moundi. Pourquoi ne pas créer une ligne plus courte sur le même trajet, et même les jours fériés et les dimanches ?
Cette question vaut pour toutes les lignes supprimées les jours fériés et dimanches dans les autres quartiers de Toulouse.

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Bus de remplacement à cas de panne Ligne A

Je peux vous dire que hier, 13 juin 2018, j’aurais aimé avoir ma voiture en ville en raison de la panne d’électricité et du métro ligne A. Je devais rentrer par la ligne 14 vers les Arènes pour prendre un autre bus. Le 14 direction Basso Cambo n’est pas passé pendant une heure, alors que cette ligne suit celle du métro. Toutes les autres lignes passaient au centre ville (par Esquirol), comme le L7, le 38, le 44, mais jamais le 14 !
Personne ne pouvait nous dire où étaient passés les bus 14 !
Déjà qu’il y en a très peu malgré la longueur du trajet, lors des moments difficiles il y en a encore moins !

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Compte-rendu atelier citoyen transports à Plaisance

Le 16 mai 2018, l’AUTATE a participé à un Atelier Citoyen à Plaisance, consacré aux transports. Le principe de l’Atelier Citoyen est de rassembler un maximum de personnes pour réfléchir, donner des avis, et décider ensemble de la manière dont la ville doit être gérée, sur l’intégralité des sujets qui concernent la commune. Un tel groupe a ainsi été créé à Plaisance, sa finalité étant de préparer une future gouvernance de la ville.

Trois groupes de travail ont été formés et ont parlé des transports dans leur globalité : transports en commun, navette municipale, voiture, vélo, infrastructures, etc.

Après une heure de conversations et de propositions, les principaux constats et propositions d’amélioration ont été mis en commun. Les constats ont été similaires. Voici les principaux sur les transports en commun.

Bus / Transports en commun

Constats :

  • Alors qu’une ligne de chemin de fer passait par Plaisance, le manque de vision des élus du passé et la logique du « tout voiture » ont amené à ce que les transports en commun se retrouvent maintenant piégés dans les bouchons des voitures. De ce fait, ils sont sous-utilisés.
  • La nouvelle ligne Linéo 3, étant finalement très peu en dehors des voitures (nombre très faible de tronçons « en site propre »), n’améliorera pas ce phénomène : le temps pour aller de Plaisance aux Arènes ne sera réduit que de 4 mn !
  • Le nombre de lignes est insuffisant (seulement trois lignes de bus);
  • Leur accessibilité difficile, voire impossible pour certaines zones de Plaisance ;
  • La fréquence et les plages horaires sont insuffisantes, les trajets non optimisés.
    • Par exemple la ligne 48 (Basso Cambo – Tournefeuille Lycée) est mise en place uniquement la semaine alors qu’elle passe par la Ramée et pourrait donc être utilisée le week-end pour s’y rendre.
  • Les arrêts de bus n’ont pas été pensés pour les personnes à mobilité réduite. Leur « chaine du déplacement » est donc problématique, ce qui ne leur permet pas d’utiliser les transports en commun puisque, même si les bus sont adaptés, le passage du bus au trottoir est souvent impossible.

Propositions :

  • Modifier la voirie à hauteur des arrêts de bus pour garantir la possibilité pour une personne à mobilité réduite de monter et descendre dans les bonnes conditions ;
  • Création d’une ligne entre Plaisance et Cugnaux afin d’éviter la traversée de Tournefeuille et permettre de rejoindre le bus en site propre (ligne 47 ?) qui amènera à la gare de métro Basso Cambo par la voie en site propre du Canal Saint-Martory (VCSM) ;
  • Mise en place de navettes municipales (navettes de petite taille, dites de rabattement), qui permettront de rejoindre les lignes de bus ou les arrêts de métro existants (Basso Cambo, par exemple), comme l’exemple de La Salvetat-Saint- Gilles où existe une navette gratuite qui tourne en permanence dans la ville ;
  • Raccorder les lignes 55 et 48 (cela permettrait de créer une ligne directe de Plaisance à Basso Cambo);
  • Augmenter la fréquence et élargir les plages horaires de circulation des bus. Par exemple la ligne 48 qui pourrait circuler le samedi et le dimanche pour aller à La Ramée ;
  • Installer un arrêt de bus à Bernadet dans le sens Plaisance-Tournefeuille (ligne 65). Aujourd’hui il n’existe que dans le sens Tournefeuille-Plaisance, il faut donc quitter Plaisance, descendre au Phare à tournefeuille puis reprendre le bus en sens inverse sur 1 arrêt. Quelle perte de temps pour 1 arrêt à créer ! ;
  • Demander à ce que la ligne C (train depuis la gare de Colomiers) aille jusqu’à Matabiau.
  • Coordination des acteurs du transport (CD31, SNCF, Tisséo, SMTC) pour permettre d’utiliser un seul ticket sur tous les transports en commun, sur toute la durée du trajet. Aujourd’hui, le ticket Tisséo est valable une heure, ce qui est trop court, surtout pendant les heures de pointe.
  • Incitation des promoteurs à intégrer dès la conception les emplacements et voies de passage pour les transports en commun (via le P.L.U. notamment).

Autres

  • Harmonisation des différents acteurs publics (régionaux) : il serait bon que le mot concertation soit à l’honneur. Le rapprochement de la commune avec Toulouse Métropole a été évoqué.
  • Incitation de la mairie, via une forme de bonus/malus, à utiliser le vélo et les transports plutôt que la voiture.
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Le téléphérique accusera quelques mois de retard

https://www.ladepeche.fr/article/2018/06/15/2818398-retard-au-demarrage-pour-le-telepherique-toulousain.html

Publié le 15/06/2018 à 07:16, Mis à jour le 15/06/2018 à 09:49

De Paul-Sabatier à l’Oncopole en passant par Rangueil, le téléphérique
accusera quelques mois de retard avec une mise en service prévue à
présent vers la fin 2020.

Se rendre du métro Université Paul-Sabatier à l’hôpital Rangueil en
quelques minutes, puis franchir la Garonne jusqu’à l’Oncopole pour le
prix d’un ticket de métro, cela sera possible en 2020 grâce au
téléphérique qui placera Toulouse parmi les pionniers de ce nouveau
mode de transport urbain.

Mais les Toulousains devront patienter un petit peu plus que prévu
pour cela car le téléphérique accuse plusieurs mois de retard. En
décembre 2016, lorsque Tisséo Collectivités choisit le groupement
piloté par Poma pour construire la ligne, le syndicat des transports
en commun annonce une mise en service «début 2020». Puis il se heurte
à une vive contestation de la part de la communauté éducative du lycée
Bellevue qui l’amène à revoir le tracé.

Pendant cinq mois début 2017, le constructeur a planché sur des
solutions alternatives. Pendant cinq autres mois, jusqu’en octobre
2017, une concertation a été organisée jusqu’à obtenir un consensus.
Une dizaine de mois supplémentaires se sont donc écoulés
principalement dans le but de déplacer la station Paul-Sabatier du
lycée jusque de l’autre côté de l’avenue de Narbonne, près de l’entrée
du campus.

Lors de l’assemblée de Tisséo Collectivités du 22 novembre, Francis
Grass, président de Tisséo Ingénierie, maître d’ouvrage délégué,
évoquait d’emblée un retard «de quelques mois». Aujourd’hui, huit mois
après cette prévision, le pilote de l’opération confirme ce délai :
pas de téléphérique début 2020, avant les élections municipales donc,
mais plutôt vers la fin de l’année, si possible «avant la fin 2020»,
avance Francis Grass qui ne se fait pas plus précis car il compte bien
«gagner du temps». Sans faire cependant la moindre «impasse
technique», notamment sur la marche à blanc.

Risque de recours

Pour l’élu, ce retard «n’est pas du temps perdu». «L’absence de
consensus sur le tracé nous aurait exposés à des recours au moment de
la Déclaration d’utilité publique.»

Depuis le choix du nouveau tracé, des études supplémentaires ont été
engagées sur trois points : la configuration de la nouvelle station
Université Paul-Sabatier, les fondations de la station CHU de Rangueil
(dont l’emplacement reste identique, près de l’entrée de l’hôpital),
et le déplacement du garage atelier de l’Oncopole à Paul-Sabatier. «Ce
travail technique, observe Francis Grass, est quasiment terminé.» Le
design des stations tel qu’on pouvait le voir sur des images de
synthèse aurait également été modifié.

Parallèlement, la procédure administrative suit son cours. Le 4 juin,
Tisséo a déposé à la préfecture un dossier qui amorce le long
processus. L’objectif du syndicat des transports est d’approuver le
dossier de la Déclaration d’utilité publique à l’automne. Pour que
l’État déclenche l’enquête publique vers février. Le nouveau tracé
implique également un surcoût de «quelques millions d’€» dont le
montant fait l’objet d’une négociation entre Tisséo et le groupement
de constructeurs.

Ce sera le plus long de France

Lors d’une conférence de presse au Salon des Transports de Paris de
Poma, mercredi, la société française leader du transport par câbles
dans le monde, a évoqué le projet de téléphérique urbain
toulousain,qui, «avec une distance de 3 kilomètres et 3 stations, sera
le plus long téléphérique urbain de France». Poma a rappelé le prix du
contrat passé entre Tisséo-Collectivités et le constructeur, qui
assurera aussi la maintenance pour le futur téléphérique urbain
reliant Oncopole, Rangueil et Université Paul-Sabatier : «En France,
plusieurs villes se tournent vers POMA pour engager leur révolution en
matière de mobilité urbaine. Toulouse a signé (en janvier 2017) une
commande de 93 millions d’euros (hors taxes) dont plus de 30% alloués
à la maintenance sur 20 ans», a déclaré Jean Souchal, président du
Directoire de la société créée il y a 82 ans sur les sommets enneigés
de l’Alpe-d’Huez . En fait, la partie conception et construction est
chiffrée à 54,60 M€ (HT) exactement, le reste (38, 2 M€ HT) étant
consacré à la maintenance sur 20 ans. Avec une facture globale de
111,4 millions d’euros TTC, le marché du téléphérique est bien loin
des premiers chiffres avancés sur le projet : 44 M€ pour le projet
initial puis 80 M€ pour le projet envisagé par l’équipe Cohen en 2014.
La différence est constituée par la partie maintenance du contrat
(1,91 M€ par an) qui ne faisait pas partie du projet de départ. La
maintenance a été intégrée au marché afin de garantir la fiabilité
totale du système, indiquait, au moment de la signature, Francis
Grass, président de Tisséo-Ingénierie.

Le débit du téléphérique sera de 1 500 personnes par heure dans chaque
sens. Ce téléphérique urbain est un 3S (trois câbles) débrayable, une
technologie éprouvée sur de nombreuses installations dans le monde, a
indiqué POMA, qui emploie 1 113 personnes dont 680 en France sur ses
différents sites industriels.

Le chiffre : 35

places> Un demi-bus par cabine. Le téléphérique offre beaucoup
d’avantages : c’est de loin, en investissement et en fonctionnement,
le mode de transport le plus économique. En site propre comme le
métro, il ne connaît pas les bouchons et propose ainsi une qualité de
service comparable. Enfin, sa capacité est équivalente à celle d’un
tramway. Ses cabines de 35 places, soit un demi-bus, permettront de
transporter 7 000 voyageurs par jour.

Philippe Emery

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Un calculateur coût, pollution des transports selon le mode

Après avoir cherché les informations les plus pertinentes, voilà l’outil de comparaison coût, temps de trajet et pollution le plus performant que l’AUTATE  ait trouvé nous vient de Paris :

https://www.paris.fr/actualites/comparaison-des-couts-temps-de-trajet-et-pollution-emise-selon-le-mode-de-transport-utilise-4449

Pour faire les calculs vous-même :

  1. Ce site a classé les transports avec le comparateur (bas de page)

http://quizz.ademe.fr/eco-deplacements/comparateur/

https://www.consoglobe.com/les-14-modes-de-transport-les-moins-polluants-cg

2. Application pour téléphone qui permet de quantifier la pollution des trajets quotidien (voiture, tram, métro, train, bus)

http://www.gecoair.fr/home

3. Un site pour l’empreinte carbone longue distance

http://consommerresponsable.com/empreinte-carbone-mode-de-transport-plus-polluant /
http://www.greenmodal.eu/fr/content/calculer-votre-empreinte-carbone

 

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Rencontre Autate-Région

A sa demande , l’AUTATE a été reçue plus de 2 heures par le directeur transports de la Région Occitanie, Christophe Bazzo, pour faire le tour de la situation du TER dans la région, et plus précisément sur la grande agglomération toulousaine. On regrette fortement que la Région ne considère pas le transport urbain (et périurbain) comme un champ de développement du ferroviaire. Malgré tout, et surement considérant la masse de clientèle concernée, un travail a enfin été engagé avec Tisseo pour mieux coordonner TER et métros. S’appuyant sur les déclarations constantes de la ministre des transports, Elisabeth Borne, sur la priorité aux transports du quotidien, et notamment aux transports urbains, l’AUTATE continuera à promouvoir le développement des services TER en agglo, et sa complémentarité avec tous les modes de déplacement, vélo et marche à pied notamment.
Pour renforcer cette action, pensez à faire part de votre vécu, vos témoignages sont la base des revendications de l’AUTATE auprès de la région, de la SNCF, de Tisseo. merci d’avance de vos contributions.

Le compte rendu complet aux adhérents.

 

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Retour usagers Station Multimodale La Vache

Tractage réalisé le 27 Mai 2018 :

Il y a 2 sorties du métro : celle qui va vers le parking relais et celle qui va vers les arrêts de bus. A la première, les usagers sont plutôt des adultes (30-60 ans) qui ont une voiture et l’ont garée au parking. Ils ne prennent que le métro qu’ils trouvent rapide. Le parking est rapidement saturé, après 8 heures. La solution de substitution est le parking Intermarché ou alors ils vont se garer aux 3 cocus. Ils connaissent peu le réseau de bus. A la deuxième sortie, ce sont plutôt des jeunes lycéens et étudiants ou des personnes sans voiture. Ces derniers regrettent la mauvaise fréquentation des bus, notamment la ligne 69. Par ailleurs, ces personnes peuvent aussi prendre le bus 60, qui s’arrête à 20 heures ce que des usagers du métro regrettent car cela les oblige à prendre leur voiture. S’agissant du bus 59, la fréquence est toutes les ½ heures et le dernier est à 20h30/21 heures. Enfin, les usagers sont majoritairement au courant de l’extension vers Labège de la ligne B et du projet de 3ème ligne. Par contre, les pannes fréquentes de la ligne sont également évoquées. Dans cet endroit, très peu d’usagers connaissent l’existence d’une ligne SNCF à proximité et ne la prennent.

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Etude et Retour des usagers sur la ligne SNCF Toulouse-Auch

  Nos constats :

  • L’organisation du déplacement des trains est optimisée au maximum par rapport au nombre de voie disponibles, avec une déserte toute les 30 minutes entre l’Isle- Jourdain et Matabiau et une bonne prise en compte des pics de déplacement.
  • Chaque jour, cinq machines se déplacent entre Matabiau à Auch et deux pour la navette entre les Arènes et Colomiers.
  • La portion de ligne simple entre les Arènes et Colomiers est saturée avec un train toute les 10 minutes.
  1. Avec 19 croisements de train entre ces deux gares ou une partie de la ligne est toujours en voie simple, il y a un risque évident de collision sur erreur humaine ou technique.
  2. Avec 8 croisements dans ces deux gares, il est évident que tout retard pris par un train impacte immédiatement le départ et la circulation de tous les autres trains.
  • Les douze autres croisements se font dans les gares de Brax, l’Isle-Jourdain ou Gimont ou il est difficile de faire mieux sans de gros investissements pour mettre toute la ligne en double voie.

Ce que nous savons :

  • La navette fonctionne relativement bien.
  • Il y a de nombreux retards sur la ligne Matabiau /Auch dûs en grande partie au départ de Matabiau car le tronçon de ligne entre Matabiau et St Agne est saturé par les trains de Foix, Tarbes et Narbonne.
  • Ces retards désorganisent l’ensemble des trains car la ligne est déjà exploitée au maximum ce qui ne permet pas de rattraper du temps perdu. Des trains sont alors annulés.

Ce que nous préconisons actuellement:

1/Pour la navette de la ligne C

– La traction électrique pourrait être envisagée dans le cadre d’une redistribution des machines.

– Nous constatons que le temps d’arrêt à Colomiers de chaque navette est de 10 minutes.

  • Ce temps permet largement de réaliser un aller-retour de Colomiers à En Jacca.
  • Il n’y aura pas de modification sur les horaires de la navette et sur les trains Matabiau/Auch.
  • La ligne existe déjà, il suffit de la rénover sur 600 mètres, de positionner deux passages à niveau automatiques et un arrêt en bout de l’Avenue Salvadore Allende.
  • Pour un investissement financier minime, cela permettra de
    • Soulager la gare de Colomiers.
    • Desservir une grande zone d’activités.
    • Desservir les habitants du quartier En Jacca.
    • Desservir les habitants de l’Est de Colomiers avec la création d’une passerelle piétonne sur la RN 124.

2/ Finir de réaliser le doublement total du tronçon entre les Arènes et Colomiers.

  • Pour sécuriser la ligne et limiter les croisements qui engendrent des retards.
  • Ce doublement a déjà été acté et les études techniques sont réalisées.
  • Les travaux devraient être terminés depuis fin 2017.
  • Nous savons que le déplacement des budgets vers le métro Toulousain (prévu au mieux en 2025) et vers le TGV Toulouse/ Bordeaux (au mieux en 2033) a stoppé cette réalisation essentielle pour les usagers journaliers que nous sommes.

3/ Déplacer le train au départ de Matabiau pour l’Isle Jourdain de 5h 54 du matin à 21h 54 le soir.

  • Ce train qui est très peu emprunté le matin, sera beaucoup plus rempli le soir.
  • La suppression du train du matin permet d’éviter le croisement à l’Isle-Jourdain avec le premier train arrivant d’Auch qui est surchargé.
  • Ce train d’Auch ne devrait plus être en retard.
  • Pour la SNCF, ceci implique qu’un train et son chauffeur dorment à l’Isle-Jourdain, mais cette modification d’horaire allège le tronçon Matabiau/St Agne chaque matin.

4/ Faire partir des Arènes, les trains de 6h24 et 6h54 actuellement au départ de Matabiau.

  • Toujours pour limiter les retards sur les trains d’Auch et de l’Isle-Jourdain dus aux croisements.
  • Permet d’éviter à deux trains d’emprunter le tronçon Matabiau/St Agne chaque soir.
  • Les usagers du matin pourraient prendre le train d’Auch au départ des Arènes à 6h 39 pour une arrivée à l’Isle-Jourdain à 7h 14.
  • Le métro permet facilement aux usagers de se déplacer aux Arènes à ces horaires.

5/ Mettre en place un ticket unique SNCF/ TISSEO permettant de prendre une fois le métro gratuitement pour un déplacement SNCF, ou pour faire plus simple : Rendre les transports publics gratuits sur l’ensemble du territoire de Toulouse Métropole.

6/ Faire arrêter tous les trains aux Ramassiers et organiser les correspondances avec le bus 63 pour les salariés travaillant sur les sites d’Airbus et sur Tournefeuille/ St Martin du Touch.

Ce schéma matérialise les déplacements des trains journaliers de 6h à 10 h.

Il permet de faire apparaitre:

  • L’organisation des déplacements des trains dans le temps.
  • Le nombre de trains par tronçon.
  • Les points de croisement des trains en sachant que :
    • sur une ligne à voie unique, un train doit attendre son tour dans une gare pour ensuite pouvoir passer.
    • Sur une ligne à voie double, il n’y a plus de problème de croisement.

 

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